1/ Christian BAECKEROOT vous présentez une liste à Tourcoing. Pourquoi ?
Les
conseillers sortants du groupe "A Tourcoing les Français d'Abord", Simone BONNAVE, Jean-Bernard CORNU, René DECLERCQ et moi-même avons décidé de présenter une liste de rassemblement ouverte à tous.
Nous nous adressons en particulier aux 61,05 % de Tourquennois qui ont voté NON le 29 mai 2005 :
- NON au mondialisme et à la spéculation financière, dont on vient de voir encore récemment (crise du "subprime") les funestes effets,
- NON à l'entrée de la Turquie et à l'islamisation,
- NON à la disparition de l'Europe des Nations et,
- NON à la négation de nos racines occidentales et chrétiennes.
Les élus locaux sont le terreau sur lequel se développent les partis de "gouvernement" représentés dans cette élection par les 3 têtes de liste favorables au OUI, alors que le OUI n'a recueilli à Tourcoing que 38,95 % des voix. Le vote pour ces candidats vaudra approbation de la ratification-trahison du traité de Lisbonne grâce au soutien de l'UMP et grâce à l'abstention hypocrite des socialistes, opération rendue possible par "l'arnaque" du candidat Sarkozy faisant croire à un "mini" traité alors que toutes les propositions importantes du projet de constitution ont été maintenues.
Mais nous nous adressons aussi à tous les Tourquennois qui veulent une politique s'adressant à tous les Français quelles que soient leurs origines et à tous les Européens. C'est dans cette optique que nous avons proposé au MNR, qui a accepté, de participer à ce rassemblement.
NB : Aux dernières élections locales nous avons recueilli 20,5 % à l'élection municipale de mars 2001 et plus de 23 % dans les bureaux tourquennois lors des élections régionales et cantonales de mars 2004.
2/ Pour quelles raisons avez-vous gardé le même nom "A TOURCOING LES FRANÇAIS D'ABORD" depuis 1995 ?
Notre liste se présente sous le même nom qu'en 1995 et 2001 car nous avons été fidèles à nos engagements et que les grandes orientations de notre programme se situent dans le même cadre que lors des scrutins précédents. Les problèmes rencontrés par les familles tourquennoises sont sensiblement les mêmes.
NB : nous sommes toujours surpris de voir les listes se réclamant des partis "de gouvernement" changer d'étiquette à chaque nouveau scrutin. Ces changements ont peut-être pour objet d'apparaître comme des hommes "neufs" et de faire oublier les promesses non tenues ?
3/ Quels jugements portez vous sur votre action au sein du Conseil municipal ?
Fidèles à nos engagements, comme nous venons de le rappeler, nous nous sommes efforcés d'être la voix de tous les Tourquennois et tout particulièrement de tous les Français exclus dans leur propre pays et oubliés par les grands projets de l'"UMPS" (gauche et droite confondues) centrés sur quelques quartiers ("Politique de la Ville") et s'intéressant en priorité aux populations extra-européennes immigrées ou de souche immigrée ("Politique de la Ville" et/ou "discrimination positive").
Nous avons obtenu des résultats :
conseillers sortants du groupe "A Tourcoing les Français d'Abord", Simone BONNAVE, Jean-Bernard CORNU, René DECLERCQ et moi-même avons décidé de présenter une liste de rassemblement ouverte à tous.Nous nous adressons en particulier aux 61,05 % de Tourquennois qui ont voté NON le 29 mai 2005 :
- NON au mondialisme et à la spéculation financière, dont on vient de voir encore récemment (crise du "subprime") les funestes effets,
- NON à l'entrée de la Turquie et à l'islamisation,
- NON à la disparition de l'Europe des Nations et,
- NON à la négation de nos racines occidentales et chrétiennes.
Les élus locaux sont le terreau sur lequel se développent les partis de "gouvernement" représentés dans cette élection par les 3 têtes de liste favorables au OUI, alors que le OUI n'a recueilli à Tourcoing que 38,95 % des voix. Le vote pour ces candidats vaudra approbation de la ratification-trahison du traité de Lisbonne grâce au soutien de l'UMP et grâce à l'abstention hypocrite des socialistes, opération rendue possible par "l'arnaque" du candidat Sarkozy faisant croire à un "mini" traité alors que toutes les propositions importantes du projet de constitution ont été maintenues.Mais nous nous adressons aussi à tous les Tourquennois qui veulent une politique s'adressant à tous les Français quelles que soient leurs origines et à tous les Européens. C'est dans cette optique que nous avons proposé au MNR, qui a accepté, de participer à ce rassemblement.
NB : Aux dernières élections locales nous avons recueilli 20,5 % à l'élection municipale de mars 2001 et plus de 23 % dans les bureaux tourquennois lors des élections régionales et cantonales de mars 2004.
2/ Pour quelles raisons avez-vous gardé le même nom "A TOURCOING LES FRANÇAIS D'ABORD" depuis 1995 ?
Notre liste se présente sous le même nom qu'en 1995 et 2001 car nous avons été fidèles à nos engagements et que les grandes orientations de notre programme se situent dans le même cadre que lors des scrutins précédents. Les problèmes rencontrés par les familles tourquennoises sont sensiblement les mêmes.NB : nous sommes toujours surpris de voir les listes se réclamant des partis "de gouvernement" changer d'étiquette à chaque nouveau scrutin. Ces changements ont peut-être pour objet d'apparaître comme des hommes "neufs" et de faire oublier les promesses non tenues ?
3/ Quels jugements portez vous sur votre action au sein du Conseil municipal ?
Fidèles à nos engagements, comme nous venons de le rappeler, nous nous sommes efforcés d'être la voix de tous les Tourquennois et tout particulièrement de tous les Français exclus dans leur propre pays et oubliés par les grands projets de l'"UMPS" (gauche et droite confondues) centrés sur quelques quartiers ("Politique de la Ville") et s'intéressant en priorité aux populations extra-européennes immigrées ou de souche immigrée ("Politique de la Ville" et/ou "discrimination positive").
Nous avons obtenu des résultats :
- aide aux écoles privées qui scolarisent 42 % des enfants tourquennois : une de nos revendications anciennes, repoussée à l'époque par M. Odoux, a été prise en considération par la municipalité avec la revalorisation du forfait communal. Il reste à compléter l'aide à la cantine scolaire et à traiter les travaux de sécurité et de gros entretien.- défense de Tourcoing et du Versant-Nord-Est : nous avons constaté que ce thème que nous étions seuls à défendre a été repris récemment par toutes les listes concurrentes.
- élargissement des zones de rénovation urbaine : les orientations initiales centrées sur les ZUS ( zones urbaines sensibles) de la Bourgogne et du Pont Rompu ont été améliorées par l'extension à d'autres quartiers. Cela est loin de concerner tous nos quartiers, mais c'est déjà une amélioration.
Néanmoins il reste beaucoup à faire (voir notre programme détaillé) c'est pourquoi nous avons besoin de votre soutien : tous les Tourquennois qui voteront pour notre liste le 9 mars prochain nous permettront d'être plus entendus et plus efficaces.
4/ Quelle a été votre action au sein de la Communauté Urbaine ?
Nous avons bien sûr soutenu les projets intéressant Tourcoing, mais nous avons été
les seuls a nous opposer au transfert de compétences non justifiées. Nous constatons que beaucoup de problèmes locaux sont mieux traités par les services municipaux que par des services qui prétendent gérer les besoins d'une population comparable à celle de deux départements moyens.Il faut surtout que le renouvellement de mars 2008 permette enfin de mieux répartir les compétences entre Tourcoing et la Communauté Urbaine et de rattraper les retards accumulés par Tourcoing et le Versant Nord-Est.
Dans le nouvel équilibre qui apparaîtra au sein de la Communauté Urbaine, nous pouvons et devons faire entendre nos réclamations, qui sont souvent partagées par les maires qui refusent de s'inscrire dans une fausse opposition droite-gauche.
5/ Vous ne parlez pas de l'insécurité ?
Si bien sûr ! Vous avez raison de souligner cette préoccupation constante des Tourquennois. En effet lassés par les échecs répétés des gouvernements de droite et de gauche et écoeurés par les promesses de leurs représentants locaux, nous aurions tendance à nous retirer de ces débats stériles.
Nous savons que dans ce domaine la responsabilité première est celle de l'Etat : voter pour les listes UMPS reviendrait à donner un quitus indécent à ceux qui ont exercé alternativement cette responsabilité.
